Plan

La planification de stratégies et de plan d’actions sur le web social devient une étape primordiale pour une entreprise qui veut bien exploiter sa communication sur ces nouveaux territoires. Cependant, pour bien réussir ce pari, il y a quelques règles de base à respecter.

Se poser les bonnes questions

Ceci vous permettra d’établir, de manière claire, vos besoins et objectifs par rapport à l’univers conversationnel qui vous entoure. Toutes les entreprises n’ont pas besoin d’être présentes sur les médias sociaux, c’est peut être votre cas. Les médias sociaux sont avant tout des conversations à écouter, à produire et à gérer, donc si vous n’en voyez pas l’utilité n’y allez surtout pas!

1. Qu’est ce que vont vous procurer les médias sociaux? La réponse à cette question est au cas par cas. A chaque entreprise, ses besoins et ses objectifs. Ceci dit, si vous n’êtes pas présents sur les médias sociaux, vous pouvez juste en écoutant ce qui ce dit sur vos produits et services, connaître leurs points forts et points faibles en vue de les améliorer. Si vous êtes déjà présents, vous aurez l’opportunité d’engager des discussions avec votre audience pour améliorer vos produits/services, innover et fidéliser.

2. En quoi les médias sociaux vous aideront à atteindre vos objectifs en interne? Que vos objectifs soient liés à la notoriété, à la vente, à la communication ou au recrutement, il faut bien les connaître afin de les décliner en orientations sur les médias sociaux que vous allez cibler.

Aujourd’hui, les décideurs qui se trouvent le plus confrontés aux problématiques du web social sont des DG, des responsables ventes, marketing, communication, RP 2.0 et RH. Je sais que les process en interne sont très cloisonnés mais pourquoi ne pas en parler à vos collaborateurs, peut être que vous vous ruminez les mêmes questions au fond.

3. Quels sont les moyens humains et matériels dont vous disposez? Si les médias sociaux ne demandent pas un investissement matériel de taille comme les médias traditionnels (Presse, TV, Radio), ils exigent néanmoins, de l’attention, de l’écoute et de l’égard. C’est ce qu’on appelle l’engagement. Avant de faire le pas vers le social, entourez vous des bonnes personnes en interne et selon votre budget, des bons spécialistes. Réussir sa posture conversationnelle nécessite avant tout de savoir ce qu’on a comme ressources et comme moyens, et de bien l’utiliser pour concrétiser ses objectifs.

Auditer votre image en ligne

Où on parle de vous? Qui parle de vous? Comment? A quel sujet?  C’est à ces questions auxquelles répond un audit d’image. Il vous permet d’éclairer l’environnement informationnel et conversationnel qui vous concerne et vous donne les clés d’une stratégie efficace sur les médias sociaux.

Pourquoi efficace? Parce qu’avec les résultats d’un bon audit d’image vous saurez dores et déjà où se trouvent les gens/communautés qui parlent de vous, quels sont les principaux sujets évoqués et quelle dimension réputationnelle est la plus impactée. Sur cette base, vos pourrez assoir votre stratégie conversationnelle et communautaire de manière réfléchie et ciblée.

Allier donc, la réalité de vos besoins et objectifs au pouls de votre image en ligne vous garantira un résultat meilleur dans la planification de votre stratégie et actions sur les médias sociaux.

Pour le reste, ne baissez jamais la garde. Restez toujours à l’écoute de votre marché en ligne, redoublez d’efforts dans votre engagement sur les espaces sociaux et avec les communautés avec lesquelles vous avez choisi d’être et armez vous de patience car c’est les plus tenaces et persévérants qui récoltent le plus de bénéfices.

A votre disposition bien sûr pour échanger. N’hésitez pas à me laisser vos commentaires.

Crédits image de garde: http://www.flickr.com/photos/plan1/4215830691/

Social Media Overlap- Social Media Policy

Dans mes perspectives pour l’année 2011, j’avais mis l’accent sur la consolidation des usages des médias sociaux au sein des entreprises. Je suis convaincue que les entités (entreprises, marques, institutions publiques, gouvernements…) décidées à entrer sur le terrain des médias sociaux et aussi se prémunir de ses dangers, doivent passer impérativement par l’élaboration de stratégies de présence, de communication et d’action sur ces nouveaux territoires.

Et comme je l’ai évoqué lors d’une récente interview, une stratégie (globale ou spécifique) efficace sur les médias sociaux doit aussi englober une politique ou charte des médias sociaux. Cette charte naît de l’historique et des valeurs de l’entité. Elle est réalisée en interne avec l’aide de prestataires expérimentés du terrain et devient, in fine, un guide de communication pour les collaborateurs proches ou lointains de l’entité, désireux se prononcer sur elle ou en son nom.

Cette action s’imbrique en amont de l’action sur le terrain des médias sociaux et doit figurer dans les préoccupations premières de chaque entité et bénéficier de l’intelligence et de l’effort collectifs de ses collaborateurs, ses premiers ambassadeurs.

Quel intérêt d’une politique/charte des médias sociaux pour une entité?

Avoir une charte des médias sociaux éclairera l’entité sur ses réels objectifs en ligne, sur la manière dont elle se voit et sur l’image qu’elle veut refléter. Elle servira aussi de ligne directrice des communications des employés, collaborateurs ou toute personne, dans le cercle proche de l’entité qui souhaite parler en son nom. C’est une sorte de code de conduite qui édicte les grandes règles de communication sur l’entité. C’est pour cela que la rédaction d’une telle charte doit être pilotée par des collaborateurs conscients à la fois des valeurs de l’entreprise et des challenges des médias sociaux.

L’intérêt de cette charte est aussi d’éclairer l’écosystème de l’entité sur ses valeurs et d’édicter certaines règles de transparence que certaines entités (entreprises et gouvernements) peinent à formuler.

Comment élaborer une politique/charte des médias sociaux?

Récemment, j’ai travaillé sur une charte d’utilisation des médias sociaux. Dans le cadre de mon intervention, j’ai réalisé la présentation ci-dessous afin de sensibiliser mes interlocuteurs d’une part, aux opportunités qui s’offrent aux entités dotées d’une charte des médias sociaux et d’autre part les éclairer sur les risques qui guettent celles qui n’ont pas encore fait ce choix.

Et vous? Voyez vous d’autres points à inclure dans une politique/ charte des médias sociaux?

En tout cas, je me tiens à votre disposition pour échanger ou collaborer de près ou de loin sur ce sujet!

Droits image de garde: http://www.flickr.com/photos/intersectionconsulting/4412472230/

Be SMART

Dans un récent billet, Jeremiah Owyang consultant reconnu en Web Strategy, propose une catégorisation intéressante des applications sociales pour entreprises. Dans un premier temps, j’ai voulu traduire le billet de Jeremiah et rapprocher plus les lecteurs intéressés des applications sociales utiles à l’entreprise. Rapidement, j’ai changé d’avis et voulu pousser l’exercice plus loin pour étudier la faisabilité d’intégrer des applications sociales au sein de l’entreprise.

Toutes les entreprises ne sont pas au même niveau organisationnel et technique. Dotée ou non d’une véritable culture, d’une organisation spécifique et de moyens techniques, chaque entreprise réagit différemment aux évolutions commerciales, sociétales et techniques. Là où des entreprises françaises (grands groupes, PME) ont déjà anticipé l’avènement du web 2.0 (cas MMA), d’autres entreprises de l’hexagone sont encore hors jeu.

Quelles sont les raisons de ce déphasage ? Certainement pas les moyens financiers. A mon sens, les véritables raisons sont principalement culturelles et techniques.

Dilbert.com

Les marchés sont des conversations

Cette expression est la première thèse du manifeste des évidences dont la première version est apparue en 1999. L’avènement du web social rend encore cette expression plus vraie. Les personnes discutent de tout en ligne : impératifs professionnels, relations et intimités personnelles, loisirs, politique, etc.

Chaque entreprise doit intégrer cette donne dans sa relation avec son audience : elle s’adresse désormais à des humains en quête d’échange et de différenciation, et non à des classes homogènes composées de catégories socioprofessionnelles ou groupes démographiques.

Communiquer n’est pas collaborer

Aussi, l’intranet n’est pas une plateforme collaborative. A mon sens, je collabore quand je travaille avec une ou plusieurs personnes en vue de réaliser un ouvrage commun, indépendamment du rang hiérarchique. Une collaboration effective sous entend l’existence d’une culture d’intelligence collective. Je vous recommande le blog d’Olivier Zara et son bouquin, deux mines d’informations à ce sujet.

Il est nécessaire de se rappeler que le web a été créé pour permettre la collaboration et non la communication. Le chat et l’e-mail existaient avant le WWW. Tim Berners Lee et Robert Cailliau ont réalisé le premier prototype du WWW afin de faciliter la collaboration des scientifiques du CERN.

Travailler en réseau

Le travail en réseau est l’un des ingrédients de la collaboration effective. Travailler en réseau repose sur l’échange et la libre circulation de l’information au sein de la structure, pour s’affranchir du schéma archaïque de diffusion Top-Down et Bottom-Up. Ci-dessous un schéma de Didier Heiderich sur  le fonctionnement en réseau où la direction n’a plus de valeur hiérarchique : son rôle est de déterminer la stratégie et fournir le sens, ce qui constitue une fonction spécialisée au même titre qu’une autre compétence. (page 6 du pdf)

Méconnaissance de la culture Open Source

Sans un travail en réseau et une collaboration effective, on n’aurait jamais eu les logiciels open source et certainement aucun des grands services du web (Google, Facebook, Yahoo, Twitter, WordPress, etc.). Les logiciels Open Source sont les leviers de l’innovation continue du web et de l’informatique. Ils sont gratuits et couvrent tous les domaines du logiciel. Et malgré cela, ils sont très faiblement adoptés au sein des entreprises.

Un paramètre qui peut jouer en défaveur des logiciels Open Source : le manque de formation. Argument qui est avancé par les produits commerciaux.

Toutefois, si la volonté est réelle d’adopter ce type de logiciel, prendre le temps de se former et former les personnes par itération est possible et très bénéfique pour l’esprit de l’entreprise. Autre solution, faire appel aux entreprises qui se sont positionnés sur ce secteur.

Se familiariser avec les logiciels Open Source, permettra à l’entreprise :

  • d’une part de se familiariser avec l’esprit du web et,
  • d’autre part de développer l’aptitude à intégrer de manière souple les évolutions techniques qui surviennent chaque jour.

Bases De Données Relationnel vs Bases De Données XML

Le stockage des données est l’un des enjeux du web. Le volume de données est immense et ne cessera de croître. Les géants du web tel Google ou Amazon, pour répondre à ce défi, ont inventé leurs propres systèmes de stockage et partagé leurs connaissances avec les communautés en ligne. Ceci a donné naissance à diverses Base De Données (BDD) Open Source utilisées aujourd’hui par les entreprises montantes du web:  Twitter, Zynga, etc. Ces nouvelles BDD se basent globalement sur des standards XML ou JSON.

Intégrer le Web 2.0 au sein de l’entreprise suppose l’intégration de ces nouvelles BDD aux bases de données existantes. La quasi majorité des entreprises utilisent les bases de données relationnelles (vue matricielle des données). Ces deux types bases de données sont très hétérogènes.

Les entreprises auront un choix technique à faire :

  1. gérer deux types de BDD  et fusionner les données au moment où on en a besoin (fréquence mensuelle ou hebdomadaire)
  2. mener des projets en amont pour se baser uniquement sur les nouvelles générations de BDD

==> Qu’est ce que vous en dites de ces 5 freins ? Il y’a certainement d’autres freins auxquels je n’ai pensé.

Dilbert.com

Dans un prochain billet, j’aborderai le Cloud Computing pour mieux vulgariser ce concept :)

Crédits photo de garde : http://www.flickr.com/photos/satoboy/4367984862/in/photostream/

Toute entreprise se doit de penser sa stratégie de présence et de communication sur Internet. Car sans cela, elle ne pourra pas anticiper en cas de communication négative ou de bad buzz. L’intérêt même d’une telle stratégie est d’établir une réelle identité numérique autour de la marque et des produits de l’entreprise.

A travers mes expériences professionnelles, j’ai été confrontée à différents cas clients et différents modes de communication d’entreprise. Ce qui m’a inspiré le schéma ci-dessous qui, à mon sens, représente le chemin que l’entreprise emprunterai pour établir une orientation réfléchie de sa présence sur Internet.

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google-logo

Dans un précédent billet de ce blog, E-Reputation: Mode d’emploi, nous avons abordé l’e-réputation comme un processus qui s’articule en deux dispositifs  : Promotion de l’image et Surveillance de la réputation. Pour véhiculer une image positive de nous sur Internet, il est nécessaire à la fois de s’appliquer aux techniques de branding (contenu de qualité, référencement, networking efficace) et contrôler toute référence à notre nom, notre entreprise ou à notre marque.

Heureusement ou malheureusement, notre « notoriété web » passe par Google, le moteur de recherche le plus utilisé en France avec 88, 3% des recherches en Septembre 2009. Ainsi, on veillera à ce que les premières pages des résultats de recherches reflètent l’image qu’on souhaite révéler sur Internet. Un article intéressant paru sur le blog de Google (traduction en français) nous recommande les actions suivantes :

  • Réfléchir à deux fois avant d’éditer un contenu sur Internet
  • Si un contenu dérangeant est disponible sur Internet, veiller à le supprimer ou le faire supprimer. Le cas échéant, contacter l’administrateur du site qui référence le contenu
  • Si vous n’arrivez pas à supprimer le contenu qui vous dérange, « noyez le poisson » en postant du contenu positif en quantité et en qualité ce qui cachera en partie le contenu négatif dans les résultats de recherche.

Autre moyen dont on pourra se doter, le Online Identity Calculator. Cet outil en ligne permet, en répondant à quelques questions, d’avoir un diagnostic de son positionnement sur les résultats de recherche de Google comme indiqué dans le schéma ci-dessous. L’outil permet aussi, à mon avis, de prendre du recul et d’initier une réflexion personnelle sur sa présence en ligne.

Online_Identity_Calculator_Jpeg
  • Digitally Distinct : vous êtes bien positionné dans les premières pages Google et les résultats de recherche reflètent bien l’image que vous souhaitez donner de vous.
  • Digitally Disastrous : les résultats sont abondants à la recherche de votre nom mais peu pertinents. Cela peut être dû au fait que vous avez un nom commun ou que vous ne mettez pas assez en avant votre contenu.
  • Digitally Dabbling : il y’a peu de résultats sur vous mais qui se trouvent pertinents. Pour améliorer votre positionnement, continuer à produire du contenu de qualité.
  • Digitally Dissed : peu de résultats et peu pertinents. Tâchez de revoir à la fois votre façon de produire/promouvoir votre contenu et à quelle fréquence.

Tout ce qui a été abordé ci-dessus est majoritairement appliqué aux autres moteurs de recherches : Yahoo, Bing, Exalead, Ask, Kartoo, etc. Pour suivre l’évolution de ces moteurs et leur perception auprès des internautes, consulter la rubrique chiffres du portail Abondance.com.

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La plupart des internautes utilisent quotidiennement les médias sociaux pour des fins personnelles et/ou professionnelles. Internet depuis son avènement a été un espace de collaboration et de partage de l’information. Avec l’expansion des accès à Internet dans les foyers, le développement des technologies web et mobiles ainsi que la standardisation des normes W3C , Internet a évolué pour donner lieu au Web 2.0 :  espace  social de découverte, d’échange, de collaboration et de commerce en temps réel.

Les médias sociaux sont les maillons du Web 2.0. Ils sont le lieu de rencontres des personnes qui partagent ou qui partageront dans le futur des intérêts communs, des affinités voir des affaires.  On en trouve pour tous les goûts et pour tous les usages. Nous avons entrepris une étude quantitative et qualitative des médias sociaux. Parmi 150 médias collaboratifs qu’on a étudiés et testés, nous avons choisi les 80 médias collaboratifs listés ci-dessous selon les critères suivants : accès à un public large, utilisation facile, fonctionnalités pertinentes.

Social_Media_Tablo

Source de l’image : metaroll sur Flickr

Nous avons classé les médias sociaux selon les catégories suivantes : Réseaux sociaux, Services d’agrégation de réseaux sociaux, Services de partage de fichiers, Services de marque-pages, Services de Blogs, Services de Micro Blogs, Journalisme participatif, Forums et news groupes, Wikis et Médias hybrides.

Les fragments de texte en italique, ci-dessous, ont été ajoutés suite aux commentaires de nos lecteurs.

Réseaux sociaux

Pas besoin de présenter  FaceBook, MySpace, LinkedIn. Ils font désormais partie de notre connaissance collective.

Tous publics

Bebo : qui veut dire Blog early, blog often est un réseau social aux multiples usages regroupés en trois rubriques « Q.G. Web Bebo » pour centraliser ses mails et découvrir du contenu web, « VieEnChaîne » pour découvrir les news de ses amis et les dernières mises à jour sur les réseaux sociaux et « Bebographie » pour y relater ses expériences : photos, vidéos, récits et événements.

Hi5 : a connu une expansion considérable ces 5 dernières années. Il compte à ce jour plus de 80 millions d’utilisateurs.

Friendster : parmi les premiers réseaux sociaux sur Internet. Surclassé par Myspace et FaceBook, ce site compte à ce jour 50 millions d’utilisateurs et est surtout utilisé en Asie.

Ning : qui veut dire « Paix » en chinois, est une application web qui permet de créer des réseaux sociaux thématiques comme Online Reputation. On peut créer sa propre communauté en ligne et partager les billets de blogs qui nous intéressent le plus.

Netlog : réseau social dédié aux jeunes en Europe. Doté de plusieurs fonctionnalités, il permet aux jeunes internautes de tenir un blog, partager leurs photos et leurs vidéos. Compte à ce jour plus de 55 millions d’inscrits.

MyBlogLog : Service Yahoo qui permet de créer une communauté autour d’un site ou d’un blog. Voir exemple de Tech Runch France.

MyTrybe : réseau social, lancé en 2008, pour connecter des personnes avec les mêmes centres d’intérêts. Les fonctionnalités de l’outil permettent de retrouver des utilisateurs ayant les mêmes passions pour constituer des tribus homogènes.

EnjoYourParis : site web qui permet de participer et d’organiser des événements sur Paris. Une fois votre inscription et votre profil remplis, vous pourrez entrer en contact avec des personnes dont le profil est proche du votre, prendre part à des événements et organiser le votre.

Peuplade : le réseau social idéal pour optimiser votre vie de quartier. Via ce site, vous pourrez entrer en contact avec les habitants de votre quartier pour des rencontres au coin de la rue, passer des petites annonces ou bien organiser des événements. Dans le même registre, Voisineo.

Beboomer :  réseau social européen destiné aux internautes de +45 ans et les jeunes seniors. Dans le même registre, Eons pour les +60 ans.

FamiBook : réseau social français dédié aux familles. L’objectif du réseau : proposer aux familles un espace de collaboration et fédérer ces familles dont la culture web n’est pas forcément celle de la cible de Facebook.

Hellotipi : au delà du réseau social, ce site propose de disposer d’un espace web pour organiser les ressources et les relations liées à la vie de famille.

Famicity : Réseau social lancé en 2008, dédié aux familles. Il compte à ce jour 10000 inscris. Il permet à chaque utilisateur de créer son propre arbre généalogique, rentrer en contact avec ses proches et disposer d’un espace personnel pour partager ses photos, ses chroniques et autres.

Last.fm : réseau social tourné vers la musique. Les gens entrent en contact en fonction de leurs goûts musicaux. Possibilité de télécharger gratuitement de la musique. Toutefois, il n’est pas possible de partager ses propres fichiers de musique.

Professionnels

Xing : deuxième réseau professionnel au niveau  mondial après LinkedIn, tourné volontairement vers la constitution de réseaux de contacts internationaux.

Viadeo : premier réseau professionnel francophone avec plus de 7 millions d’internautes aujourd’hui. Permet toutefois d’entrer en contact directement avec les chefs d’entreprises ou des clients potentiels.

Namyz : site qui permet aux professionnels de mettre en avant leur réputation et étendre par la suite leurs réseaux de clients et de partenaires.

StepRep:  réseau social qui regroupe trois activités complémentaires : Surveillance de réputation, Gestion de réputation et Construction de réputation. Dans la même famille, on retrouve  RepVine.

Interfrench : réseau de professionnels francophiles. Créé à la base dans la Silicon Valley par des francophones, le réseau s’est étendu à la France, Québec et New York.

Thalyseo : réseau professionnel qui regroupe les usagers du Thalys qui veulent animer leurs voyages par des rencontres professionnelles.

Agrégateurs de réseaux sociaux

Ping.fm : parmi les agrégateurs  les plus utilisés, il permet de poster le même contenu dans plusieurs médias sociaux en un seul clic. Ce service supporte plus de 40 médias sociaux.

HelloTxt : similaire à Ping.fm et doté d’une liste plus large de service étendu. Possibilité d’accéder au site et mettre à jour son profil depuis un mobile.

TweetDeck : encore en version beta, cette application au design très agréable permet depuis une interface unique, de rester en contact avec vos amis, vos proches et vos groupes de contact.

Alert Thingy : Permet de regrouper vos activités sur les réseaux et médias sociaux : envoyer des Tweets, enregistrer des photos dans Flickr, mettre à jour votre statut Facebook et bien d’autres services. Alert Thingy est également un lecteur de fils RSS.

FriendBinder : encore en version beta, cette plateforme offre les mêmes services que Alert Thingy.

Seesmic : au delà d’un intégrateur de profils, ce service permet de centraliser plusieurs activités sur les réseaux sociaux comme la création de groupes, de pages de fans et autres. Il supporte à ce jour Facebook et Twitter avec 2 modes d’utilisation : via une application web ou via application tiers à installer sur son PC.

Partage de fichiers

Youtube : la plateforme de partage de fichiers vidéos par excellence. Dans la même famille, on retrouve comme médias : Google Vidéos, MetaCafe ou DailyMotion.

Flickr : réseau social de partage de photos et de vidéos autant pour des besoins personnels que professionnels. En 2009, le site héberge plus de 3 milliards de photos.

Twitpic : site de partage de photos dédié aux utilisateurs de Twitter.

SlideShare : comme son nom l’indique, ce site permet le partage de présentations sous format powerpoint ou pdf.

Deezer : premier site français gratuit d’écoute de musique. Il permet également le partage de fichiers musicaux et promotion d’artistes. Disponible en 5 langues.

Spotify : lancé en Octobre 2008, ce site est aujourd’hui le concurrent direct de Deezer.

Services de Marque-Pages

FriendFeed : service international qui permet de partager ses liens favoris avec ses amis, sa famille ou bien ses collègues. Possibilité de commenter les liens des autres et discuter en temps réel.

Digg : parmi les services de marque-pages les plus sollicités, Digg publie en première page les histoires les plus votées par les utilisateurs du service. Voir aussi Digg FR le Digg francophone qui monte comme le révèle cette étude.

Reddit : service qui devient de plus en plus populaire. Fonctionnalités similaires à Digg. Avantage : possibilité de choisir la langue de l’interface.

Diigo: abréviation pour « Digest of Internet Information, Groups and Other stuff ». Ce site, en plus du service de marque-pages, permet de mettre en évidence toute ou une partie d’une page, d’ajouter des notes qu’on peut ou non partager et créer des groupes. Diigo, est parmi, les services les plus innovants de Bookmarking.

Delicious : doté d’une interface HTML simple, partager et tagger vos liens favoris en toute simplicté. Delicious vous permet aussi de syndiquer votre contenu en flux RSS.

Services de Blogs

SkyRock : à la fois réseau social et hébergeur de blogs, SkyRock est le premier service de blogs en France. Il attire une population jeune de part la simplicité de création du contenu et les fonctionnalités annexes proposées. Il est disponible en 10 versions.

WordPress.com : hébergeur de blogs reconnu au niveau mondial par sa simplicité et le choix abondant de thèmes graphiques. Il est réalisé à l’aide du logiciel WordPress.org.

WordPress.org : système de gestion de contenu gratuit. Il permet à la fois la création de sites Internet de blogs. Désigné en 2007, Best Open Source Social Networking Content Management System. Pour lancer votre blog vous devez acquérir un nom de domaine et un espace d’hébergement.

TypePad : hébergeur de blogs payant. Reconnu pour la qualité de design de ses thèmes graphiques, TypePad est très prisé auprès des entreprises.

LiveJournal : à la fois réseau social et hébergeur de blogs, il est destiné à un large public contrairement à SkyRock.

Blogger : Lancé en 1999, ce service de blogs en ligne est parmi les premiers du genre. Il a été racheté en 2003 par Google.

Overblog : service de blogs en ligne, très plébiscité en France. Il est reconnu par sa simplicité. En 2007, TF1 est rentré dans le capital d’Overblog.

Fotolog : le premier site mondial de blogs photos. Simple d’utilisation, il compte plus de 22 millions de membres dans plus de 200 pays.

Xanga : service de blogs en ligne et réseau social, utilisé majoritairement aux USA et en Asie. Chaque utilisateur de la plateforme dispose d’un espace personnel qui comprend : un blog, un photoblog, un videoblog et un audioblog.

Micro Blogs

Twitter : service de micro blogs le plus connu au monde. Il a connu une ascension fulgurante ces 2 dernières années notamment en France.

Jaiku : le faux jumeau de Twitter, ils ont plusieurs fonctionnalités en commun. Il dispose d’une fonctionnalité supplémentaire : la géolocalisation.

Plazes : service de micro blogging de voisinage. Il permet à l’utilisateur de rentrer en contact avec ses amis et ses voisins inscrits sur le service, et se tenir au courant de ce qui se passe en local. Depuis 2008, Nokia est propriétaire du service.

Journalisme participatif

Obiwi : un magazine interactif qui permet d’échanger sur plusieurs thèmes: « Mode & Beauté, Maison, Voyage & Découvertes, Loisirs, Sports, Culture, Saveurs, Famille & Bien-être ». L’inscription permet de profiter d’un réseau de personnes passionnées par les mêmes centres d’intérêt que nous et de l’aide d’éditeurs professionnels pour publier un contenu de qualité.

LePost.fr : une plateforme de diffusion et de partage d’informations par les « posteurs ». On y trouve une niche d’avis et d’opinions des internautes sur les sujets d’actualité les plus brulants.

Ladies Room : Un magazine féminin dédié au partage de l’information couvrant plusieurs domaines. Vous pouvez proposer vos articles à la rédaction, entrer en contact avec des amis via la messagerie directe,  partager des vidéos, images… le tout sur une plateforme conviviale.

NewsVine :  service d’information en ligne alimenté par les contributions des utilisateurs qui marquent durant leur navigation à l’aide de la barre newsvine les articles qui ont suscité leurs intérêts.

Agoravox : Un média citoyen et participatif qui donne la parole aux internautes désireux de s’exprimer sur un sujet donné.

Aaaliens : initiative très intéressante, ce site est animé par des bloggeurs qui veulent partager leurs veilles et leurs recommandations. Aaaliens se définit comme outil de “blogger ranking” ou de “linkjournalism”.

Owni : née en France, lors des débats sur la loi Hadopi, Owni est une plateforme originale qui combine plusieurs fonctionnalités : hub de blogs, LinkTV, WebZine et un Think Tank qui expérimente le « Digital Journalism ».

Suite101.fr : récemment lancé en France, Suite101 se déclare comme « une communauté d’experts ». Les articles sont répartis par rubrique. Les auteurs sont rémunérés par article.

Forums et News groups

Yahoo Messages Board : forum de Yahoo dédié à des thématiques variées.

Yahoo Groups : via ce service, il est possible de créer son propre groupe, rejoindre un groupe large lié à une thématique donnée ou faire partie d’un groupe d’amis ou de passionnés. Dans le même registre Google Groups.

Yelp : site qui permet à ses utilisateurs de poster des avis sur les lieux qu’ils fréquentent. Ce service est valable aux Etats unis et en Angleterre. Intéressant de consulter des avis pour organiser ses voyages aux USA ou au Royaume Uni.

Epinions : lancé en 1999, Epinions est le site anglophone de référence des avis de consommateurs.

Ciao : créé par Bing, ce site est le pendant d’Epinions en France.

Crowd Storm : site d’opinions de consommateurs anglophones. Il met en avant les qualités d’honnêteté et d’expertise de ses utilisateurs.

Stylehive : site d’avis et réseau social consacré aux personnes « branchées ».

TripAdvisor : sites d’avis et conseils de consommateurs sur les voyages.

Wikis

Wikipedia : la source d’informations la plus consultée au monde et celle qu’on considère la plus fiable.

Wikia : service en ligne de création de communautés autour de wikis.

Médias Hybrides

Technorati : plateforme initialement dédiée aux blogs, Technorati est devenu un vaste média social qui propose plusieurs services notamment aux entreprises.

Wikio : Agrège l’information de provenance de médias en ligne, sites de professionnels/ experts tels que les blogs tout en permettant aux personnes d’interagir en catégorisant les sources, en vérifiant le contenu et en votant sur la qualité de la source d’information.

Blippr : c’est à la fois un réseau social et un service de critiques en ligne. Il permet de poster ses critiques sur les applications téléphoniques, les livres, les films, la musique..et diffuser par la suite ses mêmes critiques à ses connections dans les autres réseaux sociaux.

StumbleUpon : au delà d’un service de marque-pages en ligne, il permet à l’utilisateur de la plateforme de retrouver le meilleur du web qui correspond à ses centres d’intérêt.

TribuWeb : service en ligne francophone qui permet de créer des communautés d’amis, de famille ou de membres d’association. Chaque communauté dispose d’un espace privé pour stocker ses documents, partager des photos et converser.

Affinitiz : Plateforme collaborative gratuite. Elle permet de créer son propre blog, créer sa communauté en ligne (privée ou publique), partager des documents en privé. Pour travailler sur un projet à plusieurs, c’est l’idéal!! Vous pouvez créer votre (vos) propre (s) espace (s) et surfer sur les différents espaces depuis la même page avec le même identifiant. Pratique, non?

Ulike :  concept proche de Blippr. Lancée en 2006, cette plateforme se définit comme « communauté de catalogage culturel », une sorte de réseau social où chacun bâtit et partage sa bibliothèque virtuelle : films, livre et séries favoris.

Yammer : plateforme sociale de création de réseaux sociaux d’entreprises

Jamespot : Média qui combine plusieurs fonctionnalités : réseau social et plateforme de bookmarking.

Netvibes : agrégateur de fil RSS à la base, Netvibes s’avère une plateforme fonctionnelle pour la diffusion et le partage d’informations. Exemple intéressant : Bibliothèques Municipales de Brest.

Bonus

Echo : application à installer dans votre blog pour améliorer le look de vos commentaires. Vos visiteurs pourront choisir la police, ajouter une photo …. écrire un commentaire dans le format d’un billet.

What Else ?

Suite à notre étude, nous ne pouvons pas nous empêcher de penser à l’avenir des médias sociaux. A notre avis, l’engouement des internautes restera intacte et les médias sociaux se développeront davantage. Ce qui se développera le plus sont les applications tiers liées aux médias sociaux comme on peut le constater aujourd’hui en ce qui concerne Facebook et Twitter.

En tout cas, c’est « A CONSOMMER SANS MODÉRATION« .  Dîtes nous quels sont vos médias préférés? Vous en appréciez forcément quelques uns?!

Nous vous invitons également à enrichir cette liste de médias sociaux. Merci d’avance.

Article Similaire : 20 Outils gratuits de Surveillance des médias sociaux.

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Social_media_GovSocial Media Governance est le prochain livre de Chris Boudreaux dédié à la gouvernance des médias sociaux qui sera commercialisé Fin Septembre.

Selon l’auteur, ce livre aidera les entreprises à clarifier et gérer les priorités inhérentes aux médias sociaux et également définir les indicateurs nécessaires pour mesurer l’impact des médias sociaux et calculer le ROI. Un aperçu des chapitres.

Pour réaliser ce livre, Chris Boudreaux s’est appuyé sur une base de 82 politiques d’entreprises et organisations en médias sociaux.

Par le biais du site du livre, il est possible de commander, pour fin Septembre, le résumé gratuit en version électronique.

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